
Quand je te disais qu'ils sont partout. Vu en kiosque ce matin. En fait
Charlie-Hebdo touche le fond et son patron avec.
Ça me navre d'autant plus que je suis un ancien
fan de Hara-kiri; mais je trouve cette dérive consternante; car, qui plus est, le dessin en lui même n'est pas drôle, il n'y a aucune idée, c'est gratuit et nul!
Siné t'as bien fait de te barrer!
À chaque fois c’est la même chose. Quand survient une catastrophe naturelle ou préméditée, un attentat terroriste ou résistant, un meurtre en famille ou anonyme, ainsi que tout autre drame banal ou extraordinaire commun au traintrain de l’espèce humaine, il faut choisir un camp – même s’ils se ressemblent – sous peine d’être jugé.
RépondreSupprimerJ’aurais tendance à me mettre tout le monde à dos, histoire de ne pas être tenté entre les symptômes et le diagnostic.
Mais la radicalisation de la vie par procuration, la dictature du compassionnel et l’intellectualisation des politologues de comptoir me poussent à sortir du bois, ou plutôt de ma cage d’escalier.
La suite ici : http://souklaye.wordpress.com/2009/04/06/bloc-note-dramaturgie-imposee/